Encore au début du XXème siècle, la plupart des habitants du village, femmes et hommes, travaillaient dans les vignes et dans les champs.
Pour transporter les produits de la terre, le fourrage et les outils, ils utilisaient une hotte en osier, moins lourde que celle en sapin, réservée aux vendanges. Malgré tout, ils avaient les épaules endolories par le poids des charges, et étaient alors heureux de trouver le «repose-hotte», dans la ruelle des écoles, pour souffler un peu et reprendre des forces avant de rentrer chez eux…